Dorita Nouhaud (Université de Bourgogne)

Sous le titre de “Contraintes par corps ou les larmes d’Eros” j’ai présenté deux communications, la première le 28 octobre 2006 intitulée “Le corps mutilé”, portant sur Farabeuf de S. Elizondo, “El niño proletario” de O. Lamborghini. Le 16 juin j’ai complété cette première partie avec 62 modelo para armar de J. Cortázar, puis j’ai présenté la deuxième partie, “Le texte démembré” avec “El rito azteca” de S. Elizondo, Ultimo round de J. Cortázar, “¡Escribir como cualquier cosa !” de O. Lamborghini. Mon propos était, pour répondre au thème du séminaire Littérature et violence, de passer de récits de l’agression des corps dans la fiction à l’agression du récit (”El rito azteca”), allant jusqu’à s’en prendre à la matérialité du support page (”¡Escribir como cualquier cosa !”) après la matérialité même du support livre (Ultimo round). Le projet, subversif, des trois écrivains était de mettre en cause la traditionnelle notion de texte.

Lire l’article dans les Cahiers du SAL

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